Elliott Eloya

Fiche de Présentation de Elliott Eloya

Nom : Eloya

Prénom : Elliott

Age : 31 ans

Dons : Lire dans l'avenir

Physique de votre personnage : D'une taille moyenne, il est blond et porte ses cheveux en queue de cheval derrière sa nuque. Ses yeux d'un vert perçant sont en contraste avec son teint pâle et ses lèvres roses. Principalement, il porte un pantalon blanc fourré dans ses bottes en cuir noires. Suivant les occasions, sa chemise varie entre le noir et le blanc, qu'il cache le plus souvent sous un manteau noir, retombant sur ses hanches.

Caractères, Défauts et Qualités de votre personnage : Le caractère d'Elliott n'est pas un des plus faciles je dirais. Il est arrogant, pessimiste, paresseux et ombrageux. Tout seul, on peut dire qu' Elliott est normal. Quand je dis normal, il reste calme, sans déranger ce qui l'entoure. Mais cela change en fonction des personnes avec qui il se trouve.
Vis à vis des hommes, il peut parfois se montrer grossier, insultant, voir même dangereux. Et encore, ce n'est rien comparé à ce qu'il peut faire si on s'approche d'une personne qu'il aime ou qu'il admire - mais qu'il ne connais pas forcément, c'est l'un de ses défauts.
Vis à vis des femmes, c'est une autre affaire. Il peut se montrer doux, attentionné, charmant - si elles le méritent - comme arrogant. Une de ses principales qualités - si on peut dire ça - c'est de trouver tous les points faibles des gens autour de lui. Je reviens donc à mon point de départ :

Le caractère d' Elliott n'est pas un des plus faciles.

Histoire de votre personnage :

Elliott est né un jour d'été, lorsqu'il fait trop chaud pour être dehors le jour, trop froid pour être dehors la nuit. Lorsque les hommes sont fatigués par le labeur, lorsque les femmes sont fatiguées de marcher jusqu'à la ville voisine. Un de ces jours où, de temps à autre, un peu de pluie serait la bienvenue. C'est sans doute pour ces faits qu' Elliott ne supporte pas du tout le froid mais est beaucoup plus à l'aise quand la température ambiante atteint les 20°C.

Quoiqu'il en soit, Elliott grandit, et devint un beau jeune homme, attirant les regards les plus subtiles. Malheureusement, aucune porte embauchant des ouvriers ne se présentaient à lui. Il restait donc chez lui, à attendre que son père ramène quelques bonnes nouvelles de la ville. Un beau jour, ou plutôt un mauvais, Elliott se cachait désespérément sous sa couette, la pluie tambourinant à la fenêtre de la maison, faisant un bruit désagréable pour les pauvres petites oreilles d' Elliott. Son père rentra du travail, un paquet sous le bras. Il trouva Elliott dans son lit et essaya de le sortir de là. Mais rien n'y fit. Il ne voulait rien entendre, tant que la pluie ne cesserait pas, il ne sortirait pas de là.

- Elliott ! Tu pars à Paris dans deux heures. Tu as intérêt à être prêt !

Son père dit cette phrase comme si c'était une évidence, comme ils le savaient déjà, tous autant qu'ils étaient dans cette maison à l'étroit. La mère d'Elliott, une jeune femme à la peau blanche, fut aussi surprise que si il s'agissait d'elle. Mais elle n'eut pas le temps de réagir que déjà Elliott s'était levé.

- Comment ça, je pars à Paris ?! Aucune envie d'y aller. Puis de toute façon, il pleut tout le temps là-bas ! Vous voulez ma mort ou quoi ?

Il commençait à péter les plombs comme on dit. Paris était pour lui la ville de l'enfer, là où les dames courraient les rues, les hommes se faisant dépouillés par le moindre "faucheur", les pauvres gens sans défense contre les soldats du roi, sans parler des boutiques. Un enfer pour lui qui n'avait pas compris comment de telles personnes pouvaient supporter cette manière d'être.

De même, ses parents ne comprenaient rien. Pas au fait que Paris existe dans de telles conditions, mais plutôt comment leur fils détestait la "ville de tout les bonheurs" comme la surnommé sa mère. Ne voulant pas laisser Elliott dominer la conversation, son père se dépêcha de lui répondre sur le même ton que lui.

- T'y iras ! Un point c'est tout ! Tu n'as pas le choix !

Et malgré tout ses efforts pour s'échapper ou se perdre à chaque arrêt dans une ville, Elliott arriva à Paris quelques mois plus tard. Contrairement à ce qu'il aurait pensé, il faisait un temps magnifique en cette fin d'octobre. Les rayons du soleil se filtraient un passage entre les hauts toits et les étroites ruelles. Et Elliott commença à apprécier cette ville, bien que se fut contre son gré.

1 an plus tard ....

'Ding Dong'
La cloche de la boutique venait de sonner et déjà un jeune homme se trouvait à la porte pour accueillir avec grâce la clientèle. Il se tenait droit, avec un port de tête bien tenu, une veste bien lisse et des chaussures bien cirés. Mais ceci n'avait cruellement rien à voir avec la femme sublime qui se présentait dans l'ouverture de la porte. Et Elliott fut complétement subjugué par cette beauté, qu'il n'avait encore jamais eut la chance de croiser dans les rues de Paris. Et comme un homme à qui on aurait enlevé le pouvoir de bouger, il restait là, sans rien faire, en regardant la déesse qui se tenait devant, et qui commençait à s'impatienter de ne pouvoir entrer. Elliott, remarquant cela, ferma ses pensées et se concentra sur son travail.

- Bonjour Milady. Que puis-je faire pour vous ? Vous trouverez de tout ici ! Des chapeaux, des escarpins, ainsi que des bottes, des manteaux de la plus fine soie, des robes aux nombreuses parures...

La lady ne l'écoutait plus. Elle avait été attirée par une pierre précieuse, posée délicatement sur le décolleté d'une robe toute aussi somptueuse. Elliott fut un peu vexée que celle-ci le préféré à un de ces joyaux qui couvraient ces parures ridicules d'après Elliott. Il se rapprocha donc de la Lady et lui dit.

- Je vois que vous êtes intéressé par cette robe et plus précisément par ce bijou. Si vous souhaite, vous pouvez l'essayer. Mais cela a un prix.

La femme le regarda, incrédule. Elle lui répondit, sur un ton pour le moins agressif, qu'elle ne jouait pas à ce petit jeu là avec des gens de la basse société. Mais elle le regretta vite, car Elliott, ne supportant pas de se faire insulter de cette manière-ci, lui prit les poignées et les lui plaqua contre le mur le plus proche.

- Premièrement, je ne suis pas un "gens de la basse société". Deuxièmement, quand je dis quelque chose, on le fait.

Mais avant qu'il puisse faire autre chose, le gérant du magasin, un homme costaud, pris Elliott par les épaules et le fit sortir de force du magasin, en le jetant dans la boue.
C'est ainsi qu' Elliott se retrouva à al rue, avec quelques sous dans sa poche, qu'il économisait pour du pain et de l'eau pure.

Le temps se couvrait un peu plus tous les jours, et Elliott n'en était pas moins avancé ; tantôt il mendiait maintenant dans les rues ; tantôt il cherchait un abris pour la nuit. Alors que la nuit enveloppait toute la ville de Paris, il aperçu un carrosse qui lui était familier. Malheureusement, il n'arrivait plus à savoir où et quand il l'avait aperçu. Mais sa mémoire revint quand le carrosse passa près d' Elliott. Il avait entraperçu à l'intérieur la femme qui était la cause de cette misère dans laquelle il vivait.
Il décida donc de suivre ce satané engin à roue qui éclabousse tout sur son passage. Et celui-ci le mena à une petite taverne noire, d'où sortait une étrange fumée grise. La mystérieuse femme descendit et entra dans cette endroit sinistre. Elliott attendit que le carrosse s'en aille pour entrer lui aussi dans cette lugubre demeure. Comme il s'y attendait, il ne trouva personne d'autre, si ce n'est que la femme. Celle ci non plus n'était pas surprise de le voir, car elle avait remarqué qu'il le suivait.

- Qu'es-tu venu faire ici ? Je ne t'ai pas assez ridiculisé ?

Elliott, piqué au vif, couru vers elle et la plaqua au sol cette fois ci.

- Vous ne m'aurez pas à ce petit jeu ! dit il en reprenant les termes qu'elle même avait employé.

Après ces paroles, une lutte déchainée se mit en place entre le jeune homme et la femme mystérieuse. Celle ci tenait bon aux coups porté par Elliott et celui tentait de faire pareil.
Alerté par le bruit des coups, des passants, n'osant pas entrer, appelèrent la police, qui se chargea de séparer des deux êtres.

La femme, étant riche et haut placée, repart tranquillement chez elle, alors que Elliott, de la basse société, est vite mit au cachot.

Il ne ressort que quelques mois plus tard, faute de places disponibles.

Objets/Signes particuliers : Elliott sait manier le fer avec beaucoup de charme. Il déteste le mauvais temps, surtout la pluie et l'orage.

Autres : Rien à part qu'il ne faut pas le chercher sinon il risque de vous provoquer en duel. Twisted Evil

Bon début de présentation.. Je suppose que c'est un personnage inventé ?
Sinon bon courage pour la suite. Smile

Merci. Oui, c'est un perso inventé Smile

T'as vu j'ai fait des progrès Wink

Ton début de présentation est pas mal Very Happy

Merci =)

Préviens nous quand tu penseras avoir fini ta fiche.

D'accord.

Fiche Terminée.

Ta fiche est super bien. A part la fin qui pourrait être plus élaboré mais ça sera bon. Tu vas passer au Rp d'entrée.
Ton thème.

Code:: Tu es en prison et tu rencontres quelqu'un (homme ou femme) ; tu sympathises avec lui/elle ou au contraire, tu ne t'entends pas du tout avec.

Cela faisait maintenant 6 mois que j'étais cloîtré dans cette infâme cellule, à attendre une nouvelle, bonne ou mauvaise. J'entendis des pas dans le couloir, et pria avec beaucoup d'espoir pour que ces personnes, qui approchaient, étaient là pour moi. La porte s'ouvrit et une jeune femme fut poussée à l'intérieur. Le garde rigolait d'un rire grave, sournois et referma aussitôt la porte. Le jeune femme, étendu sur le sol, pleurait, avec de toutes petites larmes.
Je m'approcha d'elle mais elle recula, me regardant avec méfiance. Elle avait sans doute raison. Chaque fois qu'une femme était dans la même cellule qu'un ou plusieurs hommes, elle se faisait violée. Je me rassis donc à ma place, contre le mur, et la regarda sécher ses larmes en silence.

- J'm'appelle Elliott, et toi ?

Le jeune femme parut surprise de mon attitude à son égard. Mais elle n'en fut pas moins ravie. Elle se tourna vers moi et me dit, avec sa petite bouche.

- Katy…

Katy. C'est un joli prénom. J'aurais souhaité lui demander pourquoi elle était ici, mais me doutant de son jeune âge, je me suis dit qu'il fallait mieux la laisser tranquille pour le moment. J'attendis donc, jusqu'à ce qu'elle vienne s'asseoir à côté de moi.

- Tu sais, ce n'est pas la première fois que je suis envoyée en prison. Mais c'est la première fois que j'ose parler à un homme. Tu n'es pas comme les autres toi. Tu ne nous fait pas de mal. Je l'ai tout de suite vu dans tes yeux et sur ton visage.

Je la regarda, incrédule. Mais j'étais tout de même content qu'elle daigne me parler. Après un moment de réflexion, elle me demanda.

- Pourquoi tu es ici ?

Pourquoi ? C'était une bonne question. Je cherchais à formuler ma réponse quand elle repris.

- Tu n'as pas l'air d'un brigand, du moins en apparence. Tu as des enfants ou une femme ?

Des enfants ? Une femme ? Quelle drôle de question, franchement. Je ne me voyais pas entourer de bambins, courant partout, salissant sur leurs passages. Et une femme ? Je n'y avais jamais songé. Je lui répondis donc sur un air pour le moins normal.

- Pour répondre dans l'ordre de tes questions. Je ne sais pas vraiment pourquoi je suis ici. Et non, je n'ai pas d'enfants et encore moins de femme. Et toi, pourquoi es-tu ici ?

Le visage de Katy s'illumina un instant, avant de se confondre au noir de la cellule.

- J'ai vendu à la femme du capitaine de la prison une robe. Mais malheureusement, cette robe, il y avait un trou dedans. Ce n'était pas moi ! Je ne sais pas coudre. Mais la femme du capitaine est très susceptible, et n'a pas supporté que je me "moque" d'elle. Mais comme cette raison ne suffisait pas à me mettre en prison, ils ont inventé une excuse.

C'était à mon tour d'être surpris.

- Inventé une excuse ? Mais quelle excuse ?

Katy baissa la tête, ses joues devenant de plus en plus rouges.

- J'ai violée un enfant de 10 ans. C'est ce qu'ils essayent de me faire croire, car je dois parler après demain devant la cour, vu que mes parents sont des connaissances au juge. Ils me font avaler des tonnes de cachet pour que je dise ce qu'ils veulent entendre de ma bouche. Je ne sais même plus ce que j'ai fait moi-même.

Elle semblait vraiment mal à l'aise. Décidément, la société d'aujourd'hui n'était plus rien qu'un sac à mouches. Les personnes riches manipulent les gens comme de vulgaires marionnettes.

- Souviens-toi toujours…

Je n'eus pas le temps de finir ma phrase, car deux hommes, costauds, m'ont pris par les épaules et m'ont traînés dans une autre cellule, vide. Je n'ai jamais compris pourquoi, d'ailleurs.

Félicitations ! Vous faites maintenant parti de nos meilleurs … *connais pas le mot* Laughing

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